jeudi 10 septembre 2009

Article 13 : Les malades imaginaires.

"Si un gros veut piquer tes frites, cours il abandonnera"


Tout d’abord je tiens à m’excuser de cette absence prolongée, mais lorsque fainéantise s’ajoute à été mouvementé, le résultat est sans appel : absence prolongée, mais que je rassure les réac, j’ai pas touché de congé maladie.

Pour ceux qui me connaissent en vrai comme sur le net, vous n’êtes pas sans ignorer que je suis l’une des personnes dont la tolérance est sans limite … ou presque.

Car cet article aussi vindicatif soit il devrait vous permettre de remettre en question l’un des problèmes de ces dernières années , a savoir l’obésité. Sur le banc des accusés la malbouffe, que j’innocente sans appel possible. Et tel un Emile Zola des temps modernes j’accuse les GROS d’être les propres responsables de leur obésité.


L’obésité ou la groslardise est considéré comme une maladie, mais que nenni, mis à part des dérives biologiques et hormonales assez rares, on ne peut décemment pas considérer l’obésité comme une maladie. Donner un statut de malade ou pis d’handicapé aux personnes en surpoids considérable relève de l’incompétence et de la complaisance dans l'indiscipline (encore une fois je ne parle pas des vrais malade dont l’obésité est un symptôme et qui eux sont victimes d’un mal). Je parle du ptit gros de 8 ans et de la grosse vache qui s’empiffre continuellement de mcdos de chocolats et de glaces qui déteste son physique et n’hésitera pas a vous attaquer en justice si vous lui faîtes remarquer qu’elle a assez de graisse pour alimenter une fabrique de savon pour 10ans. Pourquoi ces gens là (ca fait un peu raciste cette phrase j’avoue) bénéficient ils d’un traitement de faveur (places réservées dans les transports, aménagements sociaux, deuxième place dans les avions etc..) alors que leur style de vie est un choix, c’est comme reprocher à un culturiste de prendre de la place avec ses muscles.

Mère nature est peut être ménopausée mais est loin d’être sénile, l’homme est un animal vous en conviendrez, or il n’existe aucune espèce animale vivant en liberté qui devient obèse ou est en surpoids, si un animal (toujours en liberté je parle pas de votre labrador) devenait gros, il serait considéré comme inférieur voire rejeté, il en va de la survie de l’espèce. En effet sans pour autant être anorexique ou avoir une silhouette parfaite, ne pas être obèse relève d’une des disciplines les plus élémentaires… Attention je ne reproche à personne d’être gros, chacun fait ce qu’il veut, je reproche de quémander des avantages vis à vis de leur situation dont la responsabilité leur incombe. En effet leur état n’est ni naturel ni accidentel, contrairement à un trisomique un aveugle ou un handicapé, qui méritent amplement les structures (encore trop peu nombreuses) adaptées à leur état.

Sans pour autant être une figure de mode ou un s’imposer une hygiène de vie drastique ne pas être gros c’est simple, un peu de sport pas trop de fast food et 3 repas par jour, et pis c’est tout ! Alors stop aux traitement de faveurs aux gros, c’est comme de faire des euromillions à une case pour les gens aux chômages (je ne dis pas que le chomdu est volontaire !!!))

Allez arrivederci
WordWizard

Ps : ne soyez pas trop gourmand, faites tourner le blog !

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